L'année 2013, est pour Edwige Rueffly-Rouget, un retour à l’expression artistique par le biais de la peinture à l’huile.

 

Entre temps, elle s’est épanouie dans la publication assistée par ordinateur (PAO infographiste), une autre voie artistique pour la communauté urbaine de Lyon où elle était employée comme secrétaire technique de 1994 à 2013, dans le foncier et l’immobilier.

 

Le temps est donc venu pour cette Franc-comtoise, pure souche, résidant dans le Bugey, de se lancer pour de bon dans des concours et des expositions de ses œuvres picturales.

 

La peinture est pour elle non seulement un moyen de transformer la banalité ou de sublimer la beauté d’un sujet mais aussi une exploration de nouvelles techniques et le dépassement de soi-même. « Je ressens la couleur comme une vibration, c’est ma musique à moi. »

 

 

On a là des chevaux de l’élevage de la Réverotte, à Loray, son village natal ; des paysages de Provence ; des fleurs et des oiseaux exotiques ; des marines ; des canyons de l’Arizona et quelques figures symboliques, ésotériques tirées du Tarot de Marseille.

 

« J’ai découvert le symbolisme en me laissant emporter par la géobiologie du Sacré. Le symbolisme est présent dans toutes les cultures et toutes les civilisations, il nous parle puissamment s’adressant simultanément à notre intelligence, à nos émotions et à notre esprit. Autrefois tout puissant dans l’Antiquité, il est repris par les bâtisseurs de cathédrales. Les moines bénédictins ont élaboré ces édifices sur des sites mégalithiques avec la science du trait et la juste proportion que l’on retrouve dans chaque être vivant. Tout est conçu pour attirer la lumière, vibrer… alors, si vous voulez bien en vol, en saisir l’esprit…»

 

Ces expositions lui permettent de se booster cela lui donne des objectifs. Livrer son travail au public et aux critiques est une grande aventure. Surtout, ce que l’on attend, avec les galeries est de toucher les visiteurs.